Si tu le voulais, je t'emmènerais avec moi,
Dans ce pays que tu ne connais pas.
Ce pays où le sable ressemble à de l'or,
Tel un immense trésor.
Nous marcherions dans ce sable avec plaisir,
Ressentant une envie de tout découvrir :
Le désert flamboyant, les oasis tranquilles,
Sans oublier ces fourmilières que sont les villes.
Lorsque le soleil serait à son heure,
Nous nous réfugierions alors dans la fraîcheur
De ces havres de paix que sont les palmeraies
Au coeur de la chaleur d'été.
Nous fuirions notre vie étouffante,
Pour choisir celle, si tentante,
Qui nous permettrait de renaître, de rire,
Et, de liberté, nous sentir ivres.